Lorsqu’un adulte cesse de rêver, ce sontles étoiles dans les yeux des enfants qu’il éteint.

Les jeunes ont besoin d’imaginer, créer, rêver.

Les enfants sont les fils de la vie, ils puisent leurs racines à travers nous.

Notre devoir, c’est de croire en eux, en leur capacité, de leur donner les moyens d’atteindre l’improbable sans jamais douter d’eux. Notre devoir, c’est d’allumer leur confiance et de faire voler leurs rêves toujours plus haut.

Un enfant qui rêve, qui se projette plus loin, construit des compétences essentielles pour son avenir. Il met une intention, un pouvoir très fort dans son cœur pour devenir ce qu’il veut être.

La capacité créatrice des jeunes est considérable. Petit, il exprimera par des dessins, sa sensibilité, ses émotions, sa vision du monde qui transparaîtront via ce que des adultes appellent des gribouillis, mais qui sont en fait ce qu’il ressent, ce qu’il voit, ce qu’il comprend. Ce sera sa réalité, et elle sera créatrice de milliers d’opportunités pour lui.

En grandissant, il aura des idées pour sauver le monde, les gens, les animaux, la nature. Il vivra dans un monde utopique, visionnaire qui lui permettra de réaliser quelques-uns de ses rêves.

Tant qu’un jeune rêvera, il pourra changer le monde, le rendre meilleur. En tant qu’adulte, nous devons protéger leur vision, et construire avec eux leurs rêves de visionnaires du monde.

Après les dessins, un enfant un peu plus âgé, écrira. Parfois, ses écrits seront sans dessus dessous, manquant de sens pour la plupart des adultes. Mais pour un jeune, ce sera son message, au travers de ces écrits, il exprimera ses émotions, racontera une histoire et laissera sa marque. Laissons-les raconter leurs rêves avec des mots. Un enfant, un jeune qui rêve, se développe normalement.

Dans les yeux des jeunes, on peut voir les rêves scintiller, on peut voir son avenir et ses espérances. L’épanouissement de nos jeunes passe par la croyance de la réalisation de leurs rêves. En tant qu’adulte, nous devons tout faire pour les aider à réaliser leurs rêves, même les plus fous.